Pour ce faire, il faut enlever la jambe de train avant et déconnecter les 
haubans avant.

Au passage, on distingue que le coffrage de l'aile est terminé. L'entoilage 
au tissu thermo-rétractable n'est qu'une formalité.

Les photos qui suivent illustrent bien la forme générale du bébé qui 
ressemble de plus en plus à son papa…!
Ne reste plus sur l'aile arrière 
que la pose des haubans et le 
raccordement à la fusée porte 
hélice.

Le calage préconisé de l'aile 
arrière par rapport à l'axe de 
l'hélice est de zéro degré avec 
une tolérance jusqu'à 2° positif. 
Les premiers "sauts de puces" 
nous permettront de fignoler ce 
réglage de façon empirique….
La limite du carénage est taillée directement à la scie sauteuse sur le bloc.

Il n'y a plus qu'à présenter la pièce sur la cellule qui piaffe d'impatience :
Le démoulage du carénage ne pose pas vraiment de problème. Un 
premier dégrossissage est fait de façon à éviter de se blesser en le 
manipulant car les épures sont très coupantes.
 Episode 1
 Episode 4
 Episode 6 
 Episode 5 
 Episode 3 
 Episode  2 
Ce chantier est très classique et ne comporte pas de difficultés majeures comparées à celles occasionnées par le fuselage très 
compliqué du HM1000.
Il y a juste le profil ! J'étais parti sur un NACA 23112 mais finalement, j'opte pour la récupération du profil réel du Balerit.
Pour ce faire, la très belle photo du N°13 (aïe) va me servir de gabarit.
Après avoir redimensionné l'impression à la cote de mon emplanture, les nervures sont découpées en série :
On passe maintenant à l'atelier composite… Ben oui, on ne va quand même pas le laisser tout nu notre bébé Balerit !
La technique adoptée sera celle du moule perdu.C'est plus simple surtout lorsque l'on ne compte pas produire plusieurs pièces 
identiques.
Un bloc de mousse va être taillé directement à partir du plan :
La pose du tissu de verre aura lieu un peu plus tard.

C'est maintenant aux ailes qu'il faut penser .
Il n'y a plus qu'à les 
assembler… un jeu d'enfant :
Il va ensuite être sculpté 
et poncé à la main 
jusqu'à obtention de la 
forme souhaitée :
Je viens de recevoir le moteur électrique. Le groupe moteur/courroie est
assemblé et réglé :
L'autre côté est mis en place et un premier réglage viendra équerrer 
l'ensemble qui devra être mobile en rotation de tangage sans effort :
Le train principal est positionné. Il fonctionne comme le vrai sous le 
principe de la barre de torsion.
Il faut maintenant s'attaquer à la phase délicate de la mise en place du 
haubanage.
Les câble seront remplacés par de la tige carbone de 2mm avec chapes 
réglables  tandis que les haubans rigides sont en tige filetée 2mm qui sera 
à terme fourrée dans deux flasques balsa imitant le profilé d'origine.
Pour le montage, un outil spécifique est fabriqué : le gabarit des points 
d'ancrages pivotant de l'aile.
Le premier coté est ainsi assemblé et réglé :
25 novembre 2014
20 novembre 2014
17 novembre 2014
14 novembre 2014
Mais pas d'inquiétude pour l'aspect maquette de la cellule. On va arranger 
tout ça.
On peut maintenant présenter les autres éléments à la cyanolite :
L'assemblage principal de la cellule est maintenant terminé. Les pattes de
fixation des haubans sont en place. Le tube de train principal est posé lui
aussi : 
Le plus compliqué a été de réaliser un parfait alignement du 3eme point 
de fixation  de la queue avec la fusée porte hélice. Une triangulation 
supplémentaire est rendue obligatoire car mon moteur est suspendu et la 
poutre supérieure s'arrête dans le vide sur son carter.
La mise en peinture peut commencer… :
Sur ces roues, il a maintenant de l'allure 
Ce coup-là, on le voit vraiment notre bébé….
Les équerrages sont vérifiés, on peut maintenant faire les "soudures".
Le résultat et à la hauteur des attentes :
Petit Balerit / petite courroie !
Je sais, ce n'est pas très gracieux… Mécaniquement, avec ma solution de 
bloc réducté, c'est incontournable.
Avez-vous vu la dimension de la courroie de transmission ??
Un bâti spécifique est réalisé pour centrer parfaitement l'attelage 
moteur/réducteur. Les entraxes relevés sur le grandeur comparés aux cotes 
présentes sur la cellule miniature permettent de laisser tourner, avec la 
même marge de tolérance, cette superbe quadripale de 10 pouces de 
diamètre. Elle-même est issue qu'un Kit de P51 Mustang…. Rien n'est trop 
beau pour notre Balerit
Passons maintenant à la partie avant de la cellule. 
Finalement, la poutre principale ne sera pas le support de la fusée d'arbre 
d'hélice.
Elle ne sera donc pas réalisée en alu comme prévu au départ mais en 
rondin de bois dur. L'ensemble y gagnera en homogénéité.
La fusée va faire partie d'un ensemble réducteur à courroie complet issu 
d'un système réservé au modélisme naval. Moyennant quelques adaptations 
(notamment l'arbre creux) ce système devrait parfaitement convenir.

La base de la cellule est positionnée et assemblée à la cyanolite.
Les 4 tirants principaux sont assemblés et 
équerrés autour des platines de dérive. Le pré 
assemblage se fait à la colle cyanolite. La 
"soudure finale" est réalisée à la colle époxy 2 
composants.
Une fois le plan édité, on peut commencer à projeter les volumes de ce futur jouet.
Franchement, à cette taille (1/6eme), le Balerit n'est pas ridicule. L'avantage du 1/6, c'est que c'est une échelle relativement 
commune et un grand nombre d'accessoires sont disponible dans le commerce en commençant par les pilotes.
Le premier chantier va consister à assembler un élément tubulaire pour valider la méthode de montage retenue pour la maquette. Le 
choix se porte sur le tronçon arrière qui, somme toute, est un élément relativement simple.
En premier lieu, il va falloir passer le peu d'informations et de données disponibles sur le Balerit à la moulinette AUTOCAD. Ceci 
permettra de sortir un plan coté à l'échelle avec la nomenclature de l'ensemble des pièces du puzzle
C'est en ma qualité d'ex propriétaire du N°111 que je reprends la plume aujourd'hui…
En effet, voler sur Balerit (peut-être même sur formule Mignet en général) procure une sensation difficile à expliquer pour un 
pilote lambda. Tout s'y mêle : la simplicité de la machine, la simplicité du mode de pilotage, les commandes de vol, le roulis 
induit, l'environnement cellule et, j'ai même envie de dire…., l'ombre portée au sol par cette drôle de machine.
Bref, étant en outre spécialiste de la réalisation de modèles réduits de toute sorte, j'ai envie de prolonger un peu le combat au 
travers d'une maquette volante réalisée au 1/6eme.
Le défi est de taille. A cette échelle, le modèle ne fera guère que plus d'un mètre d'envergure. Il va donc être difficile de fabriquer 
la cellule en respectant l'échelle du diamètre des tubes pour des raisons de résistance structurelle. Il ne va pas être non plus possible
de la faire en alu car les soudures à  produire relèvent de la microchirurgie…
La cellule sera donc assemblée à partir de petits rondins de bois dur collés entre eux et ligaturés avec du fil de cuivre.
Et puis, il y a cette "foutue" transmission à courroie avec une hélice propulsive prisonnière de la cellule et tournant sur un axe qui 
n'est autre que la poutre maitresse de la partie avant du fuselage.
Autre contrainte, le repliement des ailes. A priori, elle resteront fixes. On y gagnera en rigidité générale et en poids.
Début de la construction: 11 novembre 2014
13 novembre 2014
La dérive est assemblée en pièces de balsa autour du longeron. Elle correspond 
aux dimensions du grandeur (voir la juxtaposition sur le plan) mais ce n'est pas 
forcément une bonne chose.
Effectivement, en règle générale, on agrandit les surfaces porteuses ou mobiles 
sur une échelle réduite pour garantir le ratio poids/portance. C'est surtout vrai 
pour les gros avions. Le Balerit étant un petit avion, on essaiera les cotes exactes 
dans un premier temps.
Présentée sur sa charnière, la dérive nous dévoile les premiers volumes en 3D de 
la maquette.
Accueil
Construction dun modèle réduit
(Echelle 1/6eme) 
p1
Vous pouvez contacter Philippe par téléphone ou SMS au
06 72 10 98 51

Mais c'est une fois entoilée que l'on commence vraiment à y croire !
Son longeron est constitué de deux-demi flasques de 
balsa dans lesquelles on vient insérer avant collage 
époxy un tube de laiton où viendra se loger un axe en 
CAP (corde à piano) de 15/10eme pour l'articulation 
de la dérive.
Le reste du treillis est positionné et "soudé" à 
l'aide d'une ligature cuivre/époxy.
L'ensemble ainsi assemblé est léger et très 
robuste. Cette solution est donc retenue pour la 
réalisation de la cellule entière sauf la poutre 
principale supportant la fusée moyeu porte 
hélice qui sera en aluminium.
La cellule sera peinte en blanc à la sortie du 
chantier.
On va procéder ensuite à la réalisation de la 
dérive.